La Fédération marocaine de football proteste officiellement contre l’arbitrage de la finale de la Coupe d’Afrique des femmes

La Fédération royale marocaine de football ( FRMF) a envoyé une lettre officielle de protestation à la Confédération africaine de football (CAF) concernant l’arbitrage controversé de la finale de la Coupe d’Afrique des nations féminine, qui a réuni l’équipe nationale marocaine et son homologue nigériane, samedi dernier au stade olympique de Rabat.
Détails de la plainte
Selon des sources bien informées au sein de l’université, la plainte adressée à la Caf comprenait un CD documentant plusieurs erreurs d’arbitrage qualifiées de « décisives », l’université estimant que ces erreurs ont directement affecté le résultat du match et favorisé l’équipe nigériane au détriment des Lions de l’Atlas.
Une équipe d’arbitres controversée
Ce dernier match a été arbitré par une équipe féminine dirigée par :
- Ancino Tuananikwa (Namibie) : La sagesse du carré
- Alice Omotesi (Rwanda) : Assistante principale
- Tabara Mbuji (Sénégal) : Deuxième aide
- Salima Mukansanga (Rwanda) : Superviseur de salle vidéo (VAR)
- Avec l’aide de : Leticia Viana (Eswatini) et Diana Chikutisha (Zambie)
Décisions influentes
Les cas d’arbitrage les plus importants qui ont fait l’objet d’une protestation sont les suivants :
- Non-attribution d’un penalty en faveur de l’équipe nationale marocaine à un moment crucial du match
- Un penalty controversé accordé à l’ équipe nigériane
- Les arbitres ont négligé des cas qui nécessitaient une intervention juridique en faveur de l’équipe nationale marocaine
L’université a décrit ces cas comme affectant le déroulement du match et violant le principe de l’égalité des chances, considérant que l’arbitrage n’était pas à la hauteur de l’événement continental.
Controverse d’après-match
Le match s’est terminé par une victoire 3-2 de l’équipe nigériane, dans un match caractérisé par une forte performance des deux côtés, mais de nombreux supporters et fans marocains ont exprimé leur mécontentement à l’égard des décisions arbitrales, qu’ils considèrent comme la raison pour laquelle l’équipe nationale a été privée de la couronne.
Dans sa lettre, l’université demande qu’uneenquête approfondie soit ouverte et que des mesures soient prises pour garantir la justice arbitrale à l’avenir, en particulier lors des matches de finale qui bénéficient d’un large soutien du public et des médias.