Culture et société

Sara Fares revient sur la scène artistique à travers le cinéma de Casablanca

L’actrice marocaine Sara Fares se prépare à revenir sur le devant de la scène après une période d’interruption, à travers sa participation à une nouvelle œuvre cinématographique dont le tournage débutera le 19 juillet à Casablanca, après des vacances passées à l’étranger dans le cadre d’une tournée européenne.

Dans une déclaration exclusive à Hespress, Fares a exprimé son enthousiasme à revenir sur la scène artistique à travers une expérience cinématographique qu’elle décrit comme « différente », aux côtés d’un groupe de noms bien connus de la scène nationale, y compris Tarek Bukhari, Mehdi Tekito, Zohour Slimani, Abdelkhalek Fehid et d’autres, sous la direction du réalisateur marocain Said Bentega.

Un nouveau personnage et une expérience à parier

Malgré sa réticence à révéler les détails du film ou la nature du rôle qu’elle incarnera, Fares a seulement déclaré que le nouveau rôle est « complètement différent de ses expériences précédentes », notant qu’il s’agit d’un défi artistique sur lequel elle mise à ce stade de sa carrière, et promet au public une œuvre cinématographique avec une « empreinte différente ».

L’artiste a confirmé qu’elle avait consacré les derniers mois à faire une pause, y compris une tournée européenne au cours de laquelle elle a visité plusieurs pays, avant de revenir au Maroc pour commencer les préparatifs de ce nouveau projet artistique.

Un nouveau départ après les succès du théâtre et de la télévision

La star de « Les filles d’Al-Assas  » a déclaré que ce film représente le début d’un nouveau chapitre artistique dans son parcours, à travers lequel elle se réjouit de vivre des expériences diverses et enrichissantes, exprimant son désir de retourner sur les plateaux de tournage et de rencontrer son public à travers le grand écran.

La dernière apparition artistique de Sara Fares a été dans la pièce « Attai Al-Azara », écrite par Abdel Majid Saadallah et dirigée par Sami Saadallah, une œuvre qui a mélangé le folklore et le symbolisme traditionnel, mettant en lumière l’histoire d’une femme qui défie les restrictions sociales en s’inspirant des légendes locales, telles que le bon gardien Bouchaib Al-Raddad et LallaAisha Al-Bahariya à Azemmour.

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